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Il existe 4 planches différentes: Olo, Kiko'o, Alaia, Paipo.

Olo: elle peut atteindre jusqu’à 7m; elle pèse 70kg et est utilisée le plus souvent pour les chefs

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Kiko’o: elle mesure entre 4 et 6m et peut être utilisée pour tous

 

Alaia: elle mesure de 2 à 4m; utilisable pour tous et surtout elle est plus stable

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Paipo: elle est de 0,65 à 1,30m; les enfants surfe allongé avec cette planche.

 

 

 

 

 

 

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Williwili: ses fleurs symbolisent les dieux créateurs; utilisé pour la Olo des chefs

•Koa (bois rouge): le plus courant

•Ulu (arbre à pain): poreux et délicat à travailler

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Un homme et une femme présage que l’arbre est pourri. Le lendemain, un poisson (kumu) est placé au pied de l’arbre. Un cochon est cuit dans un four le temps de l’abattage. Le keahuna fait appel aux esprits du surf et enterre le kumu. L’ébauche de la planche se fait sur place. Pour la lisser: utilisation d’un fragment de corail et d’une pierre de roche de lave. Polissage final avec un enduit à base de racine. Après l’utilisation: entretient avec de l’huile de coco Les hommes et le femmes ne peuvent pas manger ensemble mais surfent ensemble. Pratique du he’e nalu nu. Saison des vagues: trêve guerrière imposé par la période festive et rituelle du Makahiki en l’honneur du dieu de la fertilité Lono. La population s’adonne au he’e nalu pendant cette période

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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